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Paroles d'ex-musulmans

Et même s'il ne veut pas !
(Abdul, un collègue, dans une conversation téléphonique strictement professionnelle où j'avais cru bon de glisser un "Inch'Allah", "Si Dieu veut"... nous avons cessé un moment de parler boulot et j'ai mesuré l'intensité de son aversion pour son ex-religion)

 

Il n'y a pas de différence, il y a un seul Coran, et donc un seul islam. Certains musulmans ignorent ce que dit l'islam et sont bons car leur humanité leur dicte de faire des choses bonnes. C'est le cas souvent en France, mais les autres, ceux qui connaissent le Coran ne semblent modérés que parce qu'ils sont pour l'instant en minorité et ne peuvent donc pas appliquer le Coran. Ceux que l'on appelle les "musulmans bons" seront poussés à tuer comme les autres lorsqu'ils liront le Coran, ou ils quitteront l'Islam comme je l'ai fait. Mais dans les pays musulmans, mon histoire le montre, quitter l'islam est tellement difficile que certains continuent à vivre dans l'islam par peur. Il y a en plus un danger pour la démocratie en France. Les musulmans cherchent une identité qui ne soit pas la France et se réfugient donc dans l'islam. Le jour où ils seront majoritaires au Parlement, ils voteront la charia !
(Joseph Fadelle ex Mohamed Moussaoui, Irakien, emprisonné et torturé pour apostasie dans son pays, rescapés d'une tentative d'assassinat par ses frères, exilé en France, in L'homme Nouveau, 25/11/2010)

 

L'islam a bousillé ma vie. L'islam rend schizophrène. L'islam prospère sur l'inculture et l'ignorance. Ses valeurs ne sont pas compatibles avec celles de la République. Lisez bien ce que dit le Coran sur les femmes, les infidèles, les apostats qui comme moi rejettent la religion.
(Messaoud Bouras, français, dans Le Nouvel Observateur, 2-8/02/2006)

 

En ma vie post islamique, je n'ai plus à subir ni la culpabilisation du doute ni la peur des tourments de l'Enfer de l'au-delà. C'est donc en toute sérénité que je sais lire les menaces de ce livre du Coran qui ne m'impressionne ni ne me fait marcher au pas. (...) Je sais constater sans la moindre hésitation à quel point le Coran demeure un livre qui ne m'est d'aucune utilité pratique, de mon vivant, aujourd'hui, dans le monde d'ici-bas.
(Majid Oukacha, français, Il était une foi, l'Islam, Tatamis, 2015)

 

Le Coran est un amoncellement de textes culpabilisateurs et infantilisants qui ne sont organisés ni par thématique ni par chronologie, tout ce que je déteste lire dans un récit qui prétend révéler du droit juridique. Le Coran, une oeuvre misogyne et esclavagiste criminalisant la liberté de croyance, est la cause d'un chef spirituel autoritariste, sectariste (surtout si j'en crois la Sunna Sahih) et dont je ne voudrais ni pour professeur de bonne conduite/moralité à qui confier l'éducation de mes enfants.
(Majid Oukacha, idem)

 

Mais critiquer la religion islamique ne risque-t-il pas de pousser les musulmans modérés dans les bras des extrémistes comme l'avancent certaines âmes sensibles ? Si les musulmans modérés étaient des intégristes masqués attendant la moindre occasion pour revenir aux sources, oui, mais seulement dans ce cas ! Eviter tout débat par peur d'offenser les musulmans conduit au contraire à satisfaire les exigences des islamistes et à légitimer leur idéologie. D'ailleurs la liberté d'expression n'est pas seulement le pouvoir de dire ce que l'on pense, c'est aussi de devoir supporter, voire d'être choqué par ce que dit l'autre.
(Hamid Zanaz, Algérien vivant en France, L'islamisme vrai visage de l'islam, Max Chaleil, 2012)

 

Vociférations et mensonges pourront-ils couvrir le bruit des bottes de ce totalitarisme en marche vers la destruction de la civilisation ? Accepterons-nous les hostilités contre la liberté, la dignité, l'égalité sans distinction de sexe, le droit pour chacun de vivre ses croyances religieuses ou de pratiquer la philosophie qui lui convient ?
(Hamid Zanaz, idem)

 

J'ai décidé de combattre l'islam ; s'il vous plaît comprenez ma déclaration : combattre l'islam, pas l'islam politique, pas l'islam militant, pas l'islam radical, pas l'islam wahhabite, mais l'islam en lui-même... L'islam n'a jamais été incompris, l'islam est le problème... (les musulmans) doivent comprendre qu'ils n'ont que deux choix : changer ou être écrasés.
(Wafa Sultan, psychiatre syrienne exilée aux USA)

 

L'idée maitresse contenue dans l'argumentation d'Ibn Warraq est énoncée avec force : le problème n'est pas simplement l'intégrisme musulmans, mais l'islam lui-même. Non seulement les médias occidentaux, desquels nous n'espérons plus guère de grands principes moraux ou de courage, mais également les intellectuels font preuve de lâcheté quand il est question d'une juste critique morale de l'islam et de ses dogmes.
(Taslima Nasreen, bangladaise, exilée en Suède, préface à Pourquoi je ne suis pas musulman d'Ibn Warraq, trad. française L'Age d'Homme, 1999)

 

La vérité, c'est que l'islam ne parviendra jamais à la démocratie ni au respect des droits de l'homme aussi longtemps qu'il s'en tiendra à la charia et qu'il n'y aura pas de séparation de l'Eglise et de l'Etat. Mais, comme Muir le fait si justement remarquer : "Une religion réformée qui remettrait en question l'autorité divine sur laquelle elles (les institutions de l'islam) reposent ou qui essayerait, par des choix rationnels et des compromissions, de mener à bien un changement, ne serait plus l'islam".
(Ibn Warraq, Pourquoi je ne suis pas musulman)

 

Il est bouleversant de constater que, pendant que les terroristes islamiques égorgent, décapitent et massacrent, obéissant ainsi aux versets du coran et aux paroles et aux faits attribués à Mahomet, l'Occident - en plus de nier l'évidence - va jusqu'à "excommunier" les terroristes islamiques. Le 14 septembre dernier, après la décapitation de l'otage britannique David Haines, le premier ministre David Cameron a déclaré que les terroristes islamiques de l'Isis "ne sont pas des musulmans mais des monstres", "ils disent qu'ils font ça au nom de l'islam. C'est absurde, l'islam est une religion de paix".
Le président américain Obama, dans son intervention à l'Assemblée générale de l'ONU, le 24 septembre, a disculpé l'islam : "Les Etats-Unis ne seront jamais en guerre contre l'islam. L'islam enseigne la paix".

Mais Obama et Cameron savent-ils que le chef suprême du prétendu "Etat Islamique", le calife autoproclamé Abu Bakr al-Baghdadi, en plus d'être musulman, a en poche un doctorat de recherche en Sciences Islamiques ?
(Magdi Cristiano Allam, journaliste égyptien, baptisé par le Pape Benoit XVI puis séparé de l'Eglise Catholique qu'il juge trop complaisante pour l'Islam, source LesObservateurs.ch)

 

Depuis le 11 septembre 2001, jusqu’au jour où j’écris (décembre 2011), il y a eu plus de 20000 attaques terroristes, tuant ou blessant des centaines de milliers de personnes dans le monde. Les auteurs de ces attaques n’étaient pas des monstres ; c’étaient des musulmans. Ils avaient la foi et agissaient conformément à cette foi. Ils sont des millions à penser de même, et prêts à agir de même.
(Ali  Sina, Iranien exilé au  Canada, dans  Understanding  Muhammad and Muslims, ma traduction)

Muhammad [le Prophète de l'Islam] était un orphelin. Rejeté par sa mère dans son plus jeune âge et laissé aux soins d’un couple bédouin, il a eu une enfance sans amour. Il passa alors sous la tutelle de son grand-père et de son oncle qui eurent pitié de lui et le prirent. N’ayant pas reçu d’amour au moment où il avait besoin d’amour inconditionnel, n’étant pas discipliné quand il avait besoin d’apprendre les limites, il développa un trouble narcissique de la personnalité, ce qui le rendit mégalomane et dépourvu de conscience.
Muhammad nourrissait des fantasmes de pouvoir illimité, attendait la louange et l’admiration, se croyait exceptionnel, et attendait des autres qu’ils croient en lui et qu’ils suivent ses idées et ses projets. Il profitait des autres, était jaloux, donc croyait que les autres étaient jaloux de lui. Il s’indignait quand on le rejetait, au point de tuer ceux qui le délaissaient. Il mentait et trompait, s’estimant habilité à se comporter ainsi. Tous ces dysfonctionnements émotionnels sont des traits du Trouble de la Personnalité Narcissique (TPN).
(Ali Sina, idem)

 

Des musulmans ne peuvent haïr personne aussi intensément que les apostats. Je sais que cela rend les juifs envieux. Mais désolé, mêmes les juifs ne peuvent atteindre ce niveau.
(Ali Sina, idem)

 

Quand un cinquième de l’humanité vénère un psychopathe, est poussé à louer les attentats suicides, donc à penser que le meurtre et le martyre sont les suprêmes actes de piété, le monde devient un endroit dangereux. 
(Ali Sina, idem)

 

Sont-ils si différents de ces musulmans dits "modérés", ces gens qu'on ne voit jamais protester contre ces prétendus "intégrismes", qui ne se font jamais entendre, qui ne sortent jamais de leur réserve pour "défendre leur religion" contre la barbarie, si tant est que cette religion serait vraiment "amour, paix et tolérance" ? N'y a-t-il pas un paradoxe entre leur formule "paix-amour-tolérance" et ce qui se passe partout dans le monde d'aujourd'hui et qu'ils "oublient" de dénoncer ? Autant ces musulmans dits "modérés" sont prompts à se mobiliser, parfois de manière très violente, contre Israël qui ne fait pourtant que se défendre, ou contre "l'islamophobie" en Occident, simplement à cause d'une caricature ou d'un mauvais film sur leur "prophète", autant ils font les sourds, aveugles et muets dès qu'ils s'agit des méfaits de leurs coreligionnaires. Les musulmans dits "modérés" ont l'indignation sélective...
(Pris sur le blog Apostat Kabyle)

 

Les faits sanglants et les faits de guerre nous invitent à la réflexion. Ainsi, d’un article paru dans Le Parisien et intitulé "Mali : le jihadiste français a servi dans la police". Ce qui me frappe dans ce papier, c’est ce que Sonia, la sœur du djihadiste, déclare : "Il faut qu’il paie !" Avant de se féliciter qu’en France, l’on puisse pratiquer — et transmettre — l’islam sans être inquiété. Comme tant d’autres musulmans avant elle, elle voue aux gémonies le djihadiste vivant mais ne pipe pas mot du djihadiste en chef, Mahomet.
(Pascal ex-Mohammed Hilout, ex-dirigeant des Musulmans Laïques de France, dans Boulevard Voltaire)
 
Et Gibreel l'Archange précisa les conditions dans lesquelles on devait enterrer un homme, et comment diviser ses bien, à tel point que Salman le Persan commença à se demander de quel genre de Dieu il s'agissait, pour ressembler autant à un homme d'affaire. C'est alors qu'il eut l'idée qui détruisit sa foi, car il se souvent que, bien sûr, Mahound lui-même avait été homme d'affaires, et sacrément bon en plus.
(Salman Rushdie, Les versets sataniques).
 
Même si nous supposons que Mahomet avait raison, pourquoi son Allah, dit omnipotent, n’a-t-il pas transformé ses ennemis en amis sans avoir besoin de l’effusion de leur sang, ni de la captivité de leurs femmes et de leurs filles ?
Quel bénéfice cet Allah a-t-il tiré de tous les crimes commis par Mahomet en son nom ?
Et dans quelle mesure Mahomet en a-t-il lui aussi profité ? Chaque fois que je me pose ce genre de questions, la colère et l’exaspération m’embrasent contre Mahomet et sa marionnette Allah. Tous les griefs de Mahomet gravitaient autour de ses intérêts mondains et matériels. Tout était purement centré sur l’argent, le butin, les conquêtes militaires, les invasions, le pouvoir de dominer les autres et les plaisirs de la chair.
(Najat Kasler, traduit par Maurice Saliba depuis
http://www.ahewar.org/debat/nr.asp)

J'ai pensé ajouter Salem Ben Ammar (Français d'origine tunisienne) qui est clairement au diapason de ce qui précède, mais il dit n'avoir jamais été musulman. Son blog.




01/08/2023
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